La galerie de Mikhaël Sayagh

On pourrait croire que la photographie consiste à trouver un ordre, une harmonie, une cohérence dans le monde qui nous entoure. Photographier serait ainsi une tentative de sculpter le réel, en étant en accord à la fois avec le monde et avec notre vision.

Néanmoins, cela pourrait bien être le contraire, la photographie pourrait justement montrer qu’il est impossible de trouver un ordre, la vie étant toujours plus grande que nous. Le champ n’étant jamais assez vaste. Le cadre étant toujours trop serré ou bien trop large.

Chercher à mettre en ordre ce que l’on perçoit du monde grâce à la photographie semblerait être vain. Le monde défilerait alors sous nos yeux sans tenir compte de notre volonté propre. Mais au fond ne serait-ce pas dans ce léger interstice, dans cette tension constante, que le photographe peut avoir le seul espoir de déclencher au bon moment ?

Galerie

Nocturnes

Les rues de l'insomnie (2023)

Les rues de l'insomnie (2023)

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Mauve (2023)

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Ghosts (2024)

Ghosts (2024)

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Portraits (2024)

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Les rues de l'insomnie (2024)

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Les rues de l'insomnie (2024)

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